XX

1800

La Grèce comprend l'actuelle Grèce, une partie de l'empire Ottoman ainsi que la bosnie-Herzegovie de l'époque, elle s'arrête à la frontière de l'ancienne Bulgarie, actuelle Transylvanie. Tout habitant compris dans le territoire a été naturalisé Grec il y a quelques années.
La géographie du pays s'est légèrement modifiée, les mers sont devenues dangereuses, emplit de tourbillons (les marins n'ayant l'habitude de cette mer, ne vivent en général pas longtemps), au Nord les montagnes sont plus importantes, coupant les relations entre la grêce et les autres pays (que ça soit voulu ou non).
A l'Est la Mer Noire et la méditérannee se sont ouvert à cause de la "Faille des Dieux" transformant une partie de l'empire Ottoman en une île maintenant detenue par les grecs.

Le climat de Grecs n'a été difficile qu'entre 1800 et 1815 lors des grands temblements et raz de marées, des iles furent englouties, ainsi que des villages sur la cote, que ce soit par les eaux ou par la terre.
La légende veut que les dieux aient dirigés ces cataclysmes afin de faire le tri parmis les futurs fidèles.
Même si cette légende n'est pour beaucoup que superstition, il semblerait que la Grèce interdite soit aujourd'hui benie des Dieux, car son climat est idéal, les pluies tombes à la fin de chaques mois, et le soleil touche le pays le reste du temps. La saison est donc idéale (une 30e de degré de moyenne), facilitant la vie de la population que ça soit pour l'agriculture que pour le social en général.

L'inaccessibilitée de la Grêce prête a la spéculation de la part des autres peuples quand aux différents mythes et légendes, mais il semble évident que le retour des anciens Dieux est la principale rumeur qui circule sur les légende Grecs, on par de la résurection des héros d'antant et de l'influence croissante des Dieux sur ce pays.

D'après les rumeurs rapportées. La grêce est revenue à une ancienne politique :
La «meilleure constitution»
La cité grecque est avant tout un groupe d'hommes libres organisés "politiquement" sur un territoire. Ceux-ci ont recherché depuis les origines et à travers de nombreux conflits, ce qu'ils appelaient « la meilleure politéia possible », c'est-à-dire le meilleur régime politique, ce que nous nommons la constitution.
Les constitutions se sont multipliées dans les différentes cités et chacune a pu finalement s'enorgueillir de son législateur, plus ou moins mythique, et lui vouer un véritable culte. Ces constitutions ont assuré plus ou moins largement l'accès des citoyens à l'exercice des droits politiques, et leur participation à la vie publique.

L'assemblée
L'assemblée, l'ecclésia, est ouverte à tous les citoyens (cette assemblée peut atteindre un nombre impressionnant). Les séances ordinaires sont prévues environ 40 fois par an (trois à quatre fois par prytanie). Les rôles de sont multiples : voter les décrets et les lois, élire les magistrats, décider de l'introduction de nouveaux cultes, discuter des questions financières, attribuer des récompenses honorifiques ou voter l'ostracisme, etc.
Le droit de parole est libre et égal pour tous les orateurs, contrôlé grâce aux horloges à eaux (clepsydres).

Le Conseil (boulè)
C'est le conseil délibératif qui assure le bon fonctionnement de l'ensemble du système. Il est composé d'environ 500 membres. Ces 500 bouleutes sont tirés au sort chaque année parmi les candidats et sur les listes dans chaque dème.
Deux conditions pour être bouleute : avoir au moins 55 ans et ne l'avoir jamais été auparavant. Les bouleutes prêtent serment lors de leur entrée en charge.
Le rôle du Conseil consiste d'abord à préparer les projets de lois et décrets votés par l'ecclésia : les probouleumata. Elle a même l'initiative de ces projets. Ensuite c'est devant elle que les magistrats devaient se présenter à leur entrée en charge et surtout rendre compte de leur activité à leur sortie de charge. Elle posséde ainsi des pouvoirs judiciaires étendus.

Les magistrats
Ils sont désignés pour une durée d'un an, soit par tirage au sort, soit par élection pour les plus importants magistrats, en particulier les commandants militaires (stratèges, cf. ci-dessous). Certaines magistratures sont renouvelables.
Les stratèges
Ils forment un collège de dix et appartiennent obligatoirement à la première classe censitaire ; ils sont élus et renouvelables. Périclès, (le plus célèbre homme politique athénien du 5 e siècle) est le titre officiel qu'on leur donne.
Les stratèges dirigent l'armée.
Les archontes Magistrats d'origine aristocratique, ils sont les plus importants avant les réformes démocratiques.

L'aréopage
C'est l'ancien conseil aristocratique de la cité. Il siège à Athènes sur la colline du dieu Arès (Areios pagos en grec, d'où son nom). La colline est située au sud de l'Agora entre l'Acropole et la Pnyx. Il est formé des anciens archontes sortis de charge et qui sont désignés à vie.

L'Oracle
Les Oracles des temps anciens ont réapparus dans cette nouvelle Grèce, des milliers de personnes attendent devant leurs lourdes portes de pouvoir y rentrer et connaitre leur destiné.
On dit que certains magistère ont été choisis par l'oracle et possèdent un pouvoir accru au sein du conseil.

Les relations entre la Grèce et les autres états sont nulles.
Il y a maintenant plus d'une dizaine d'années, des messagers sont parties d'Athènes en direction de toutes les grandes capitales du monde, emportant avec eux un message du haut conseil Grec mentionnant l'arrêt de toutes relations diplomatiques et échanges avec la Grèce.
Depuis les autorités de la Grèce n'ont jamais repris contact avec les autres peuples, vivant en total autarcie, plusieurs peuples ont envoyé des messagers pour prendre contact avec le peuple Grec, qui ne sont soit pas revenus, ou qui ont été sortis de façon brutales du territoire sans avoir eu le temps de voir la couleurs du ciel.

On ne sait rien de l'armée grec, si il y a réellement une armée...
La puissance de la Grèce au 18e Siècle était bien loin des puissances mondiales Européenes à l'époque, comprenant peu de soldats et de canons. Certaines légendes racontent que les bateaux grecs d'antant sont à nouveau présent et beaucoup de pays se demandent si la Grèce ne s'est pas retrouvé piégé dans son territoire perdant toute l'avancée technologique qu'elle avait obtenue ces derniers siècles.

Il est évident que la technologie de la Grèce d'aujourd'hui ne surpasse pas celle d'il y a 100 ans, peut-être est-ce même le contraire.

La religion est probablement le point qui explique le plus de choses sur le devenir et l'état actuel de ce pays :
Le peu d'informations que possèdent les pays exterieurs, est que la Grèce fait appel à son ancien système de croyance, les anciens Dieux sont'ils revenus ? cela reste encore a prouver, mais les oracles et les temples dédiées aux anciennes déïtés ont été refait et sont maintenant habités et fréquentés, est ce une croyance sincère ? ou une méthode permettant de controler la population plus facilement ?

Voici la Cosmogonie et théogonie de l'ancien temps. Beaucoup de sages pensent que la Grèce actuelle a du se calquer sur ces croyances :
Chez Homère, Zeus règne sur un ordre établi, mais les premiers mythes de la cosmogonie et de la théogonie nous renseignent sur les croyances antérieures. La Théogonie d'Hésiode (vers 750 av. J.-C.) est plus proche des croyances populaires que les épopées d'Homère. Au début, explique Hésiode, était le Vide (Chaos), qui engendra les Ténèbres (Erèbe) et la Nuit, le Jour et la Lumière, mais aussi la Terre (Gaia), qui porta le Ciel (Ouranos) et l'Océan.

La Terre et son fils, le Ciel, donnèrent naissance à de nombreuses créatures, parmi lesquelles les géants et les Titans, dont douze sont connus par leur nom. Le plus jeune d'entre eux, Cronos, est devenu le maître du monde en mutilant Ouranos, mais des testicules ainsi tranchés naquirent les Hécatonchires (géants aux cent bras), les Erinyes, les nymphes et la déesse Aphrodite. De Cronos et de sa soeur Rhéa naîtront plus tard six des dieux olympiens, dont Zeus, le plus jeune, qui s'attaquera à son père et vaincra les Titans pour devenir le maître suprême.

A l'opposé du système d'Hésiode, il convient de citer la cosmogonie orphique, qui accorde une grande importance à Eros comme grand principe créateur.
Hésiode, avec ses personnifications de qualités abstraites, ses mythes plus primitifs et ses parallèles frappants avec les mythologies hittites et babyloniennes, systématisait un ensemble de croyances populaires; la doctrine orphique est plus philosophique.

Il semblerait que le mot Maitre de la Grèce est la Citoyenneté :
Les citoyens sont des hommes libres, adultes, propriétaires de la terre, détenteurs des droits politiques, ce qui signifie qu'ils participent à la vie commune. Cette participation s'exerce dans les domaines politique, militaire et religieux. Les femmes sont exclues des deux premiers plans ; en revanche elles participent pleinement à la vie religieuse.
Un citoyen (politès) à Athènes est avant tout un homme libre soumis à des obligations et des contraintes politiques, religieuses, économiques, sociales et militaires qui le distinguent des autres habitants et lui assurent la suprématie. Ces droits sont avant tout le droit de propriété foncière qu'il ne partage avec personne. C'est la possession de la terre qui, pour partie, fait le citoyen.
L'existence de l'esclavage a longtemps été considérée comme une sorte de tache sur la Grèce ancienne, singulièrement à propos d'Athènes. L'esclavage est en effet, aux yeux des modernes, en contradiction flagrante avec la conception même de ce régime démocratique. De fait, la société grecque, comme toutes les sociétés de l'Antiquité, a pratiqué l'esclavage ou des formes voisines et plus particulières de dépendance.
Ce fait peut être constaté quel que soit le type de régime politique de ces sociétés, démocratie, monarchie, oligarchie ou tyrannie.

L'évènemment le plus étrange est le silence de la Grèce dans une Europe qui repart (comme il peut) et qui cherche a reconquérir le monde.

A première vue (les personnes qui ont pu rentrer en Grèce et en ressortir), la Grèce n'a pas connue de grand changement au niveau de la faune et flore, qui sont même très bien fournie, permettant surement aux Grecs de ne manquer de rien.